Londres, 1888…
La ville est secouée par les épouvantables crimes de Jack l’Eventreur. Dans la petite communauté vampirique locale, dirigée par le ténébreux Rodrigue, l’on se pose des questions. Le tueur serait-il l’un d’eux ?
La belle Stella, reconnue pour ses étonnants pouvoirs occultes, va être chargée de mener l’enquête auprès d’une curieuse famille bourgeoise, les Heartavy.
Finira-t-elle enfin par découvrir la terrible vérité ?
Ça faisait très longtemps que je voulais découvrir ce roman. C’est qu’il avait tout pour me plaire vu que c’est une intrigue fantastique se déroulant au XIXème siècle. Je remercie donc grandement ma petite Thalia de me l’avoir prêté ^^. Je l’ai finalement dévoré au début de mon RAT (Read-a-Thon) d’Halloween et je le regrette nullement car il m’a permis de partir d’un bon pied.
Alors qu’est-ce qui m’a plu dans ce bouquin ? J’ai bien aimé suivre Stella, qui est une vampire assez élégante. Ce n’est pas la cheftaine de son clan et j’ai bien aimé la voir se faufiler parmi les humains pour résoudre le mystère autour d’une famille bourgeoise un peu suspecte. Dans ce tome, on évoque également l’affaire Jack l’Éventreur et là aussi des vampires de son clan vont devoir essayer de découvrir qui se cache derrière ces crimes odieux : serait-ce un des leurs ?
Le style d’Ambre Dubois est gracieux. On a l’impression de lire un grand classique de la littérature fantastique mais avec beaucoup plus de fluidité. Vraiment, ça se lit très bien et on est rapidement plongé dans cette ambiance londonienne du XIXème siècle.
Les vampires m’ont paru crédibles. Rien de trop extravaguant dans leurs capacités, l’auteur nous distille quelques infos sur eux pour ne pas nous laisser sur notre faim mais à mon avis, il reste encore pas mal à exploiter pour les prochains tomes. Et tant mieux !
Bref, même si ce n’est pas un coup de coeur, cette lecture fut tout de même pour moi un vrai régal. Deux questions se posent désormais : Thalia, as-tu déjà la suite en ta possession et si oui, quand me la prêteras-tu ? 😀
Le brouillard s’intensifiait dans les rues de Whitechapel. Il recouvrait peu à peu chaque mur et chaque pierre d’une étrange pellicule grisâtre. Aucune lumière, aucune lueur, pas même la déesse lune, souveraine des nuits, ne parvenait à traverser cette brume épaisse. La rue, avec ses tristes pavés humides, ressemblait à un cauchemar. L’air était froid et tranchant, meurtrissant la gorge à la moindre respiration.
[…] le net étaient assez unanimes pour dire qu’il était en de ça du premier volume à savoir Le Manoir des Immortels. Voilà deux ans que je l’ai lu et j’avoue ne plus me souvenir exactement de mon […]