Après ma déception avec Un aller simple du même auteur, j’ai décidé de retenter l’expérience avec un livre dont le pitch m’intéressait plus. Dans l’Education d’une fée, on fait donc la connaissance de Nicolas, un homme tombé amoureux d’une femme et de son jeune garçon et de César, une jeune irakienne qui travaille à la caisse d’un supermarché.
La situation de Nicolas n’est pas joyeuse. Sa femme, Ingrid a envie de le quitter et pourtant elle semble encore l’aimer. Au milieu de tout ça, il y a Raoul, pas encore vraiment un ado mais plus tout à fait un enfant qui veut tenter de sauver ce mariage entre sa maman et celui qu’il considère désormais comme son père. Ingrid reste très mystérieuse pendant tout le roman mais on comprendra aisément les raisons qui la poussent à rejeter son mari tellement cette situation a déjà été traitée souvent dans la fiction. Aucune surprise à ce niveau.
Le point positif reste ce petit côté « féérique » que nous offre ici Didier van Cauwelaert avec la présente de César, un personnage que j’ai trouvé vraiment agréable à suivre et que j’aurais aimé plus découvrir.
C’est donc un roman qui se lit bien, plutôt agréable que ce soit dans l’intrigue ou dans le style mais dont je ne pense pas garder un grand souvenir car il manque tout de même de cachet. Mais il m’a permis de me réconcilier avec les écrits de Didier van Cauwelaert, c’est déjà ça !
Auteur : Didier van Cauwelaert
Titre : L’Education d’une fée
Edition : Le livre de poche
Genre : Contemporain
Pages : 222
Moi c’était bof cette lecture, yavait des éléments qui m’énervaient. Mais le côté féérique était un bon point en effet 🙂
Le dernier article de Thalia : City Hall, Tome 1 de Rémi Guerin et Guillaume Lapeyre
[…] dernière lecture de Didier Van Cauwelaert, à savoir L’éducation d’une fée, m’avait permis de me réconcilier avec l’auteur après Un aller simple que je […]