
- Auteur : Noah Roovers
- Edition : Rivière rouge
- Genre : Science-fiction
- Pages :
4ème de couverture
Le récit d´une jeune Dague, Kale Rosebury, et de ses camarades qui font face aux forces du Mal sur l´immense planète de Gasthaza, peuplée de milliers de races insolites et riche d´innombrables contrées. La Quête baigne dans les eaux du fantasy, de la science-fiction et de la dystopie politique. Kale Rosebury, personnage principal de 18 ans, évolue sur une planète aussi vaste qu´une galaxie. Combats, sagesse, méditation, Histoire, races par centaines et contrées insolites : l´univers des Dagues et de Gasthaza mêle surnaturel et technologie, action et spiritualité, enchaînant les surprises et les révélations choquantes tout au long d´un récit survolté ! les Dagues sont des êtres surpuissants à la philosophie légendaire. Les Pakars, leurs ennemis, sont aussi mauvais que mystérieux. Les Dagues, institution de puissance et de sagesse, sont les seuls à maîtriser les puissances inhérentes à chaque individu et s´en servent dans leur lutte acharnée face au Mal.
Mon avis sur La Quête – L’antre des Pakars
J’ai pioché ce livre sur Lirtuel car il me fallait un livre de science-fiction pour le challenge Un genre par mois. Les avis étaient très positifs et il m’a donc intriguée.
On est directement plongé dans cet univers où de nombreuses espèces coexistent. C’est un roman vraiment riche et dense. A la fois, les personnages, l’intrigue ou les décors sont longuement détaillés pour faciliter l’immersion. Longuement… et clairement trop à mon goût.
Je n’étais, je pense a posteriori, pas du tout dans une bonne mood pour attaquer cet ouvrage. J’avais envie que ça soit fluide, rapide, intense pour passer à autre chose. J’étais en pleine rentrée scolaire et j’avais vraiment besoin d’un divertissement sans prise de tête.
Mais Noah Roovers prend plutôt le temps de nous expliquer son univers avec un langage soutenu. Et j’avoue que mon intérêt à diminué au fur et à mesure et que j’ai fini par abandonné l’ouvrage.
Je ne suis pas déçue pour autant et je pense lui laisser une chance à un autre moment plus propice mais il faudra alors que je le réemprunte.

C’était ma lecture d’août pour le challenge Un genre par mois.