Du thé pour les fantômes

4ème de couverture

Agonie est sorcière. Félicité, passeuse de fantômes.
Le silence dure depuis trente ans entre ces deux filles de berger, jusqu’au jour où la mort brutale de leur mère les réunit malgré elles.
Pour recueillir ses derniers mots, elles doivent retrouver son spectre, retracer ensemble le passé de cette femme qui a aimé l’une et rejeté l’autre.
Mais le fantôme de leur mère reste introuvable, et les témoins de sa vie, morts ou vivants, en dessinent un portrait étrange, voire contradictoire.
Que voulait-elle révéler avant de mourir ?
Qui était vraiment cette femme fragmentée, multiple ?
Leur quête de vérité emmènera les sœurs des ruelles de Nice au désert d’Almeria, de la vallée des Merveilles aux villages abandonnés de Provence, et dans les profondeurs des silences familiaux.

Entrez dans le salon de thé.
Prenez une tasse chaude à l’abri de la pluie.
Écoutez leur histoire.

Du thé pour les fantômes

Voici le roman emprunté pour le challenge Un genre par mois qui mettait à l’honneur la fantasy ou le fantastique en mars. C’est un roman qui a fait beaucoup parlé de lui l’année dernière et qui a remporté certains prix je crois.

Le côté fantastique n’est pas trop présent, il pourrait presque se faire passer pour de la littérature blanche. Cela m’a fait penser aux écrits de Carole Martinez (Du domaine des murmures, Le coeur cousu). On y retrouve le même charme, la même ambiance du Sud de la France ou de l’Espagne avec ce léger côté fantastique très plaisant.

L’histoire de ces jumelles intrigue et nous emporte rapidement dans le récit. Néanmoins, j’y ai trouvé quelques longueurs et j’avoue qu’un mois après sa lecture, j’en garde un souvenir assez nébuleux. Mais pendant la lecture, ce fut quand même très plaisant et je vous le recommande tout de même pour vos chaudes soirées d’été ou vos froides journées d’hiver.

A recommander

A ceux qui aiment le fantastique « à la française » tels que Carole Martinez ou Mathias Malzieu