Commençons par rendre à César ce qui est à César. C’est grâce à une vidéo d’Eien que j’ai découvert ce petit manga humoristique.
Tsukimi est une jeune fille un peu spéciale. Elle est en fait une fujoshi (littéralement fille moisie, le penchant féminin d’otaku. Elle ne vit que pour sa passion : les méduses. Elle habite avec d’autres …, chacune avec une passion toute aussi extravagante. Un jour, Tsukimi rencontre une jeune fille aux antipodes (et c’est tellement peu dire) d’elle, une fashion victim, une vraie princesse qui va rapidement s’attacher à notre fujoshi.
Princess Jellyfish est un manga totalement déjanté. Dès le début, on est plongé dans la vie des filles otakus de ce pensionnaire. J’ai eu un peu de mal à m’y faire au début. Tellement de personnages loufoques en peu de pages, je me suis demandée où j’étais tombée. Mais rapidement, j’ai su prendre mes marques et apprécier ce qui arrivait à Tsukimi.
Les situations sont souvent exagérées au possible mais bon dieu que c’est drôle de voir ces jeunes filles repliées sur elle-même faire face à cette fille populaire ! Mais il y a aussi des moments plus tendres dans ce manga comme lorsque Tsukimi nous parle de son passé, de l’origine de sa passion pour les méduses.
Bref après un bref déboussolement, ce premier tome m’a fait passer un excellent moment. J’ai hâte de me plonger dans la suite qui est déjà dans ma PAL.
Auteur : Akiko Higashimura
Titre : Princess Jellyfish, tome 1
Edition : Delcourt
Genre : Manga, Shojo
Pages : 234
Je n’étais pas tentée par le dessin, mais si c’est drôle, pourquoi pas !
Il ne me séduit pas non plus à la base mais j’aurais eu tort de m’arrêter là !
Si c’est drôle oui pourquoi pas.
Je me marre bien en tout cas ! Bon ce n’est pas de l’humour fin en revanche mais c’est nickel pour décompresser.
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