Le bateau fraise

4ème de couverture

Pendant douze ans, Alain Labbé navigue, seul ou en équipage. Il embarque notamment avec Eric Tabarly et d’Olivier de Kersauson. En 1999, il change de voie et devient producteur de fraises à Plougastel.
En une vingtaine de courts chapitres, il décrit son quotidien, entre récoltes, marchés, soucis économiques et bonheurs gustatifs. Et nous offre une lecture savoureuse des contraintes et des plaisirs de l’agriculture, où la solitude côtoie la vie en communauté, ressemblant parfois à la vie au grand large.
On songe à Une année à la campagne de Sue Hubbell, ou aux Bisons de Broken Heart de Dan O’Brien. Et l’on se régale de ses descriptions du petit fruit rouge, tout en comprenant peu à peu comment un marin en vient à s’arrimer à l’agriculture.

Le bateau fraise

J’ai eu beaucoup de mal à accrocher à cet ouvrage d’Alain Labbé. Est-ce une autobiographie ? Une chronique de vie ? Un journal de bord ? C’est un peu tout ça en même temps et je dois bien me dire que je me suis sentie perdue et pas intéressée finalement par le sujet. Même si le style d’Alain Labbé est plutôt agréable, le fond m’a paru ennuyeux et je n’avais qu’une hâte : finir le livre pour passer à autre chose.

Tout le livre parait très fouillis et je me demande en le refermant quel était le but de l’auteur.

Bref, pour ma part, Le bateau fraise est un récit vite lu et vite oublié. Le seul avantage est que le style était plutôt agréable et que le livre était court.

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Peut-être pour les personnes captivées par la navigation ou l’agriculture