Nous sommes en 1963, et Elisa Esposito survit tant bien que mal. Née muette, abandonnée par sa famille, elle travaille de nuit comme femme de ménage au Centre Occam de recherche aérospatiale.
Un soir, elle surprend quelque chose qu’elle n’était pas censée voir : un homme amphibie prisonnier d’une cuve, qui doit être étudié par les scientifiques pour faire avancer la course à l’espace de la Guerre Froide. La créature est terrifiante, mais aussi magnifique – elle fascine Elisa. Utilisant la langue des signes, celle-ci établit une communication. Bientôt, la créature devient sa seule raison de vivre.
Pendant ce temps, Richard Strickland, le militaire brutal qui a capturé la créature en Amazonie, envisage de la disséquer avant que les Russes ne tentent de s’en emparer.
Elisa doit tout risquer pour sauver la créature. Avec l’aide d’une collègue qui souffre du racisme ambiant et d’un voisin malchanceux qui n’a plus rien à perdre, elle met au point un plan d’évasion. Mais Strickland ne l’entend pas de cette oreille. Et les Russes sont bel et bien sur l’affaire…
J’avais envie de découvrir cette histoire et vu que mon homme, lui, n’était pas motivé à voir le film, je me suis tournée vers le livre écrit par Del Toro et Daniel Kraus.
Dès le début, j’ai trouvé que c’était fort intriguant. J’ai aimé la personnalité, un peu effacée d’Elisa et tout le mystère autour de la créature. Mais bien vite, je trouve que ça s’essouffle.
Au final, j’ai trouvé cette histoire assez longue et ennuyante. Et la fin est assez prévisible.
Bref, bien que ce ne soit pas une lecture désagréable, je ne compte pas vous le recommander. Je l’ai déjà personnellement à moitié oublié !
- Auteurs : Guillermo Del Toro et Daniel Kraus
- Commencé le : 26/11/2018
- Terminé le : 28/11/2018
- Edition : Bragelonne
- Genre : Fantastique
- Pages : 384
- Sorti le : 07/03/2018
- Note : 3/5
Je l’ai trouvé plutôt sympa mais pour les personnages secondaires et les interrogations sociales qu’ils posent.
L’intrigue était assez convenu par contre oui.
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