Honte à moi ! Moi qui adore Jules Verne que j’ai pu découvrir grâce à de nombreux films et dessins animés, je ne m’étais jamais lancée dans l’aventure d’en lire un. Et bien voilà, chose faite. Pour ce faire, j’ai pris « Le tour du monde en 80 jours » qui a toujours été mon histoire préférée et même si l’histoire nous fait voyager (dans le temps et dans l’espace -que demander de plus ?-), je dois avouer que j’ai eu du mal à le finir. Malheureusement, je ne sais pas vous dire précisément pourquoi, je crois que le style de Verne ne me plait pas en fait. Je trouvais les phrases trop longues, trop complexes. Enfin bref, c’était un peu « chiant » mais j’ai quand même beaucoup aimé l’histoire. Néanmoins, je ne me relirai pas un Jules Verne de si tôt ! J’espère que vous accrocherez plus facilement que moi.
Extrait de la première page :
En l’année 1872, la maison portant le numéro 7 de Saville-Row, Burligton Gardens – maison dans laquelle Sheridan mourut en 1814 – était habitée par Phileas Fogg, esq., l’un des membres les plus singuliers et les plus remarqués du Reform-Club de Londres, bien qu’il semblât prendre à tâche de ne rien faire qui pût attirer l’attention.
A l’un des plus grands orateurs qui honorent l’Angleterre, succédait donc ce Phileas Fogg, personnage énigmatique, dont on ne savait rien, sinon que c’était un fort galant homme et l’un des plus beaux gentlemen de la haute société anglaise.
On disait qu’il ressemblait à Byron – par la tête, car il était irréprochable quant aux pieds -, mais un Byron à moustaches et à favoris, un Byron impassible, qui aurait vécu mille ans sans vieillir.
Auteur: Jules Verne
Titre: Le tour du monde en quatre-vingts jours
Editeur: Pocket
Genre: Roman d’aventure
Pages: 280
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